Logo Centenaires Commémoratifs

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mercredi 21 septembre 2016

Le concours d'écriture est ouvert


« Vivre la guerre, vivre en temps de guerre »

Dans le cadre des commémorations du Centenaire de la Première Guerre Mondiale (2014-2018) , l'association réunionnaise Centenaires Commémoratifs propose un concours d'écriture ouvert à un large public de La Réunion, selon trois catégories d'âge... et doté de nombreux prix.

Zot limazinasion ék sat zot la fine lir, i gainye fé arviv un takon mémwar lépok laguèr 14-18
Alon dir sat na pou dir.



N'hésitez pas à nous contacter pour toute question relative à ce concours.
Ezite pa apél anou si ou néna beswin.

Règlement du concours

« Ecrire pour se souvenir, se souvenir d’un temps pas si lointain où les hommes ont témoigné de l’indicible violence mais aussi sont allés sur tous les horizons à la rencontre de l’autre. Ecrivez avec vos mots, votre sensibilité, votre compréhension de l’histoire. A vos plumes ! »

ARTICLE 1 : L’association Centenaires Commémoratifs, labellisée par la Mission Centenaire, en partenariat avec la Région Réunion, organise un concours d’écriture intitulé « La Grande Guerre des Réunionnais » .

Il est ouvert du 1er septembre au 1er décembre 2016.

ARTICLE 2 : Trois catégories sont retenues et seront primées :

Catégorie adultes.
Catégorie 13/18 ans.
Catégorie enfants.

ARTICLE 3 : Il s’agit de produire un récit de vie fictif ou documenté, pour rendre compte - par tout moyen littéraire choisi - de l’expérience de la guerre sur les fronts, sur mer, ou sur l’île de La Réunion, pendant la première guerre mondiale.

ARTICLE 4 : Les participants peuvent concourir soit à titre individuel, soit à titre collectif dans le cas d’une classe ou de groupe d’élèves. Les prix reçus éventuellement seront alors collectifs.

ARTICLE 5 : Chaque auteur ou groupe d’auteurs ne peut envoyer qu’un seul manuscrit (envoi numérique ou version papier sur traitement de texte )

ARTICLE 6 : Les manuscrits seront adressés à l’adresse suivante :

     Centenaires Commémoratifs
     10 bis chemin des Crotons
     97490 Sainte-Clotilde
ou par mail à centenairescommemoratifs2016@gmail.com

Contacts pour toute demande de précisions :
     Catherine Panot 0692 38 16 28 et Jacques Dumora 0692 03 06 28

ARTICLE 7 : Le concours est doté de trois prix par catégories, soit neuf prix remis. Les prix sont constitués de « Beaux Livres », de bandes dessinées, de films, de maquettes, de jeux de société ayant pour thème la Grande Guerre.

ARTICLE 8 : les participants déclarés gagnants par catégories seront avertis par courriel et invités à la cérémonie de remise des prix qui aura lieu le samedi 10 décembre 2016 à 14h - dans un lieu qui sera communiqué aux gagnants.

ARTICLE 9 : L’association Centenaires Commémoratifs est souveraine dans l’attribution des prix.

ARTICLE 10 : Les candidats autorisent - sans contrepartie - les organisateurs du concours à valoriser leurs écrits dans le cadre des activités commémorant le Centenaire de la Grande Guerre. (publications numériques ou papier)

Nous vous donnerons connaissance des résultats du concours fin décembre. Et de la remise des prix bien sûr ! Mais d'ici là, bonne chance à tous les candidats. Que l'inspiration soit avec eux !

dimanche 11 septembre 2016

Les Mauriciens dans la Grande Guerre

La rentrée de notre association s'est faite sous les meilleurs auspices, avec un premier événement fort, montrant son dynamisme et sa volonté d'explorer des voies inédites !

Le vendredi 2 septembre 2016, Jacques Dumora a présenté son travail à l'ancien Hôtel de la ville de Saint-Denis, autour de la mémoire mauricienne de la Grande Guerre.
Le sujet est original. Et son traitement a abouti à la publication d'un livre qui vient combler un déficit de connaissances concernant l'île soeur mais aussi la façon dont on a pu vivre les enjeux politiques de la mobilisation, du soutien aux combattants et du sacrifice des hommes dans l'ensemble de l'Océan Indien.

Présentation de Les Mauriciens dans la Grande guerre,
dans la salle des mariages de l'Hôtel de ville de Saint-Denis

Première synthèse, ce livre est le résultat d'une recherche menée pendant plus de trois ans, dans les archives mauriciennes mais aussi françaises, anglaises, australiennes. Ce travail d'histoire et de mémoire est ainsi le résultat d'une recherche patiente et rigoureuse. Acharnée même !
Elle a été accompagnée par l'association Centenaires Commémoratifs et soutenue par la Région Réunion.

Le long travail de recherche de Jacques Dumora a permis de comprendre ô combien l'île soeur s'est investie dans le premier conflit mondial, non pas par le nombre des hommes qu'elle a envoyé sur différents terrains de conflits, mais d'abord par les solidarités multiples et continues au service des armées françaises et anglaises. Son engagement s'est aussi effectué par l'investissement de ses médecins, de ses étudiants en médecine, de ses infirmières, dans les hôpitaux complémentaires au service des soldats de la Grande Guerre.
Des anecdotes et faits méconnus ont été sortis de l'oubli. On a entendu parler de l'achat d'une escadrille d'avions grâce aux collectes effectuées à Maurice par les patriotes ou du cas des Mauriciens envoyés dans les bataillons de travailleurs en Irak, enterrés à Bassora, morts en grand nombre de maladies.

Durant la conférence




Devant un public d'amateurs, et de connaisseurs, Jacques Dumora a détaillé ses résultats. Avec sa verve, en projetant quelques photos et documents, il a fait revivre une dizaine de figures, hommes et femmes engagées dans cette histoire complexe. En précisant le contexte et les enjeux politiques (le rétrocessionnisme) et en retraçant le destin des familles depuis le début du XIXe siècle. Ainsi, pendant plus d'une heure, il a partagé sa passion pour l'histoire mauricienne de la Grande Guerre.

Il a  évoqué, en conclusion, le débouché pratique de cette recherche : avec des personnalités mauriciennes et des historiens locaux, un groupement de bonnes volontés s'est constitué afin que le monument aux morts de Curepipe accueille sur une nouvelle plaque tous les noms des morts des conséquences de la guerre répertoriés à ce jour.

La soirée s'est terminée par une séance de dédicaces. Merci Jacques pour ce grand moment de partage.

dimanche 10 avril 2016

Les projets en cours

Compte rendu de la réunion du vendredi 8 avril 2016

Le concours d’écriture
Nous avons acté l’organisation d’un concours d’écriture dont Stéphane Gombaud rédige le règlement.
Le concours d’écriture débute le 1er septembre pour s’achever le 1er décembre. La remise des prix s’effectuera le 10 décembre à 14h dans un lieu à déterminer (la Cité des Arts ? Une bibliothèque ? )
Nous nous appuierons sur le réseau des CDI, des bibliothèques et médiathèques de l’ile, de la DAAC, la presse…pour informer de son organisation.
Nous devons acquérir les lots dès que la subvention de la Région Réunion nous sera notifiée et que le premier versement sera effectué. L’organisation du concours est tributaire de cette subvention.
Référents : Catherine, Stéphane et Jacques.

Lycée Leconte de Lisle

L’association est partenaire du projet porté par Nelly Bussy, à savoir la création d’un mémorial à la mémoire des anciens élèves du lycée Leconte de Lisle morts pour la France.
Ce projet novateur et ambitieux, tant sur le travail de recherche et d’écriture réalisé par les élèves que sur les aspects esthétiques du mémorial, est un des temps forts des commémorations réunionnaises de la Grande Guerre.
Le mémorial sera inauguré dans le seconde quinzaine du mois de novembre 2016.
Référents : Nelly et Jacques.

Le projet « Verdun 2016

A l’occasion du centenaire de la Bataille de Verdun, l’association mène à partir du mois de septembre 2016, un projet de recherche et d’écriture vers deux classes de CM2 de Saint-Denis, à savoir les écoles Bory Saint-Vincent et Les Lilas. Avec Jacques Dumora.
Chaque enfant se verra remettre une feuille de chou (un journal de l'époque) qui viendra valoriser son engagement. Cérémonie de remise prévue mi-décembre 2016.
Référent : Jacques.

Le salon de l’éducation 2016

Nous avons convenu de nous inscrire au salon de l’éducation 2016 afin de communiquer autour de nos projets, faire des rencontres et éventuellement organiser une conférence (à voir avec l’organisateur.)
Lors de ce salon, nous présenterons notre exposition Grande Guerre et un diorama scénarisé autour de la Bataille de Verdun crée par des collégiens ou des lycéens.
Le salon devrait se tenir fin novembre 2016.
Référent : Jacques.

La ville de Saint-Denis

La ville se lance dans les commémorations. Nous sommes partenaire de la réflexion et de la réalisation d’un certain nombre de projets, dont le premier est la réalisation d’une exposition autour du contexte réunionnais de la Grande Guerre.
Ce travail est fait en prévision du rajout des 104 dionysiens morts pour la France absents des plaques commémoratives.
Nous travaillons avec Laurent Ségelstein et le directeur de l’ONAC.
Référent : Jacques.

Les conférences

*Une à deux conférences seront organisées sur l’île autour de « Mémoire mauricienne. La Grande Guerre » suite à la publication de l’ouvrage de Jacques Dumora.
Nous sommes en attente d’un rendez-vous avec le CA d’une association mauricienne afin de construire un partenariat et de communiquer avec les Mauriciens de La Réunion susceptibles d’être intéressés.
Nous ferons la demande d’une salle de l’ancien Hôtel de ville pour donner l’une de ces conférences éventuellement courant septembre ou octobre prochain.
Référent : Jacques.

*A voir si Stéphane et/ ou Ortwin, préparent une conférence à une ou deux voix. Sur le thème de la soumission et de l'insoumission.


Nicolas Offenstadt

La venue de Nicolas Offenstadt a été acté par notre CA. Il faut lui adresser une invitation officielle et prévoir de fixer les dates définitives. C'est le résultat du travail de Patrick Mougenet.
Référent : Patrick.

Divers :
Nous avons envisagé de faire une projection des Croix de Bois ou autres films en extérieur lors des prochaines Journées Européennes du Patrimoine. Il faut décider rapidement de cette éventualité pour réserver le film et redynamiser notre partenariat avec La Lanterne Magique.

Nous avons évoqué la possibilité d’inviter une personnalité pour l’année 2018. Il faudra rapidement prendre la décision et activer les contacts nécessaires à la réalisation de ce projet.


Prochaine réunion : Le vendredi 27 mai 2016 à 19h au chemin des Routiers.

lundi 21 mars 2016

Au collège Guy Môquet

Invitation à la présentation du travail effectué

En la personne de Jacques Dumora, l'assocation "Centenaires Commémoratifs", a initié un travail de recherche sur les bénédictins absents du monument aux morts avec les élèves de la classe de Troisième A du collège Guy Môquet de Saint-Benoît.
Le travail était passionnant. Il a abouti. Les élèves peuvent être fiers. Et leur professeur d'histoire-géographie, Madame Levrel.
Bravo !

Le Collège organise une cérémonie pour présenter ce travail et une exposition, le jeudi 24 mars à partir de 15 heures. Il est possible de réserver une place en téléphonant au 02 62 90 06 25. Ou en écrivant à l'adresse : ce.9741366S@ac-reunion.fr

Un avant-goût des recherches, si Jacques et les élèves le permettent...

Dix-hui soldats absents ont été recensés, de Boyer Emile, mort pour la France de maladie le 3 octobre 1917 à Tranquilin Edgard, dit Toto, mort pour la France le 30 août 1917, lors du naufrage du Natal devant Marseille.
Un autre soldat est disparu en mer. Fabien Camille, dit Albert, lors du torpillage du Yarra au large de la Crête aussi en 1917.
Quatre sont morts tués à l'ennemi, deux en Serbie, à Rabrovo et Valkar, un autre dans l'Aisne, un dernier en Turquie à Seddhul Barh.
Un de ces bénédictin était brigadier. Un autre sergent. Un autre encore caporal fourrier, c'est-à-dire qu'il était affecté à l'intendance.
La plupart étaient affectés dans les régiments d'infanterie ou d'artilleurs. Un soldat faisait partie du Cinquième régiment de tirailleurs Algériens ; un autre soldat appartenait au Premier régiment de Zouaves.
Deux soldats faisaient partie des troupes de territoriaux. L'infanterie territoriale est composée d'hommes de plus de 35 ans. Mais qui ne faisaient pas que des gardes, même s'ils n'étaient pas destinés à servir en première ligne... la plupart ont servi à contrôler les frontières, beaucoup ont servi dans des escadrons du train ou d'artillerie.
Un soldat est mort de maladie lors d'une permission à saint-Benoît. Deux autres sont morts dans un hôpital d'Alger. Trois dans un hôpital de Marseille. Un à Reims, un à Paris.

Merci encore Jacques, pour avoir conduit les élèves du collège à s'intéresser à ce pan de l'histoire leur commune !

Et pour aller plus loin

Quelques recherches complémentaires peuvent être faites depuis nos écrans d'ordinateur. Voici quelques pistes. Parmi tant. Car l'histoire est comme une bobine dont on n'a jamais fini de dévidé le fil...

On peut commencer par faire des recherches sur les morts de sa commune :
http://www.slate.fr/story/91089/premiere-guerre-mondiale-trouvez-liste-morts-pour-la-france-commune

Et chasser quelques idées fausses. Lien sur les causes de mortalité, dont la maladie, lors de la Grande Guerre :
http://87dit.canalblog.com/archives/2012/09/19/25330874.html

Ou bien s'intéresser à la marine de guerre, ses épaves qui témoignent de la guerre tels de muets cimetières. Avec ces liens vers le drame du Natal :
http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviation-marine/marine-1914-1918/naufrage-paquebot-natal-sujet_1065_1.htm

http://www.epaves-passion.com/epave_protee_natal_ccr.htm



Ou encore penser à l'Afrique et aux Africains dans la Grande Guerre. Lien vers les régiments de Zouaves :
https://fr.wikipedia.org/wiki/1er_r%C3%A9giment_de_zouaves
L'histoire du régiment de Jean-François Georges :
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6348015z.r


Et ne pas oublier la Turquie en guerre :


La nécropole de Seddul Bahr ou repose Paul Brunet

mercredi 9 mars 2016

Ecrire la Grande Guerre à l'école

L'association Centenaires commémoratifs a été très fière du travail effectué par les enfants des trois écoles de Saint-Denis de La Réunion, Les Lilas, Les Bancouliers, Bory Saint-Vincent, dans le cadre de son projet "Ecrire la Grande Guerre à l'école.

Le dessin choisi pour le carton d'invitation

Une présentation du résultat de cet atelier d'écriture a eu lieu le 15 décembre dans la salle des fêtes de l'Ancien Hôtel de Ville de Saint-Denis. 

L'ouvrage réalisé par nos historiens dionysiens

Le coordonateur du projet, Jacques Dumora, les enseignants, madame Rosier, monsieur Lanave, madame Torney et madame Insulaire, et surtout les élèves des trois classes concernées ont eu le plaisir de montrer leurs dessins, de lire les textes résumant leurs recherches. 
En voici quelques exemples, montrant l'envie des élèves de raconter la guerre avec leurs moyens, le dessin et l'écriture, et leur créativité.


















vendredi 29 janvier 2016

Inauguration de la nouvelle plaque des Morts pour la france de Saint-André

Voici quelques images du point d'orgue du projet d'écriture et de recherche organisé par l'association Centenaires Commémoratifs qui s'est déroulé à l'école docteur Martin de Saint-André.

Le projet concernait une classe de CM2 de cette école et s'est déroulé du mois de février au mois de juin 2015. Avec l'aide de Jacques Dumora, les enfants ont exploré les archives. Et finalement leur recherche a permis aux élèves de retrouver les 13 natifs de la ville "morts pour la France" dans la Grande Guerre absents du monument aux morts de leur commune.

La nouvelle plaque venant d'être inaugurée

Devant le monument aux morts de Saint-André
le groupe des élèves, leur professeur des écoles et Jacques Dumora




Grâce à leur travail, les enfants ont réhabilité une mémoire éteinte et le 11 novembre 2015, ils ont dévoilé les deux plaques complémentaires en présence du maire, Jean-Paul Virapoullé et de Madame Christine Geoffroy, sous-préfète de Saint-Benoit. L'émotion était au rendez-vous lorsqu'ils successivement pris la parole devant le micro.


Bientôt d'autres communes réunionnaises devraient suivre l'exemple de Saint-André et inauguré de nouvelles plaques inscrivant les morts pour la France oubliés. Nous vous tiendrons au courant !

samedi 21 novembre 2015

Découvrir un auteur d'arts visuels, Guillaume Lanneau

L'intelligence rend créatif.

Et la réflexion sur la guerre, l'histoire, l'actualité ouvre à la tolérance.
On doit à un graphiste, Guillaume Lanneau, une oeuvre singulière qui aujourd'hui mérite notre admiration. Je vous la laisse découvrir en image :

Le cactus inter-religieux (2006)

Certains pourront être troublés. Voire ennuyés. Mais, confronté à ce rouge, chacun y verra d'abord un avertissement pacifique. Que ces épines de cactus soient aussi une occasion de poursuivre, par sa propre médiation, une voie vers la sagesse. Dans une direction ou une autre. Qu'importe...
L'art en tant que tel n'a pas de message ; l'oeuvre se prête à de multiples interprétations ; la première réaction peut être trompeuse et il faut s'efforcer de regarder véritablement sans "voir" avec des oeillères, des idées préconçues. Ce "rouge" est-il uniquement à l'extérieur ou bien habite-t-il aussi, hélas, nos coeurs ?
Espérons que l'artiste arrive ainsi à tirer certains de leurs certitudes dogmatiques, quelles qu'elles soient. Pour nous permettre de vivre dans une société décente, en cherchant vraiment les compromis avec ceux qui ne pensent pas comme nous, car c'est avec eux que c'est difficile et que c'est nécessaire.

Travaillant dans le collectif Au fond à gauche, le même graphiste s'est toujours intéressé à l'histoire et à la guerre. A l'impérialisme et aux guerres coloniales. On lui doit alors la scénographie d'une exposition sur l'outremer dans la guerre de 39-45, d'une exposition sur la guerre d'Algérie. Mais aussi deux travaux sur la première guerre mondiale, avec Bruno Charzat.

Voici un lien vers un premier travail de scénographie au titre évocateur "Le chemin des drames" :
http://www.guillaume-lanneau.fr/mod_catalogue/detail/65/7/2/


Et un second lien, cette fois vers une exposition consacrée au thème de "La banque dans la grande Guerre" :

Bonnes visites virtuelles. Pour en finir avec cette invitation à découvrir cette oeuvre graphique, une dernière image, extraite d'une exposition sur Jean Jaurès :


Merci Guillaume Lanneau pour votre audace. Pour au collectif Au fond à gauche pour son travail sensible qui peut nous inspirer ! 
L'époque a besoin non de valeurs (qu'est-ce que c'est... si ce n'est des slogans ?) mais de gens pour qui le dévouement à de grandes causes, les droits de l'homme, sont une réalité vécue !